My name's Elizabeth. I suck [100%]

Me, Myself & I :

NOM : SANDERSON
Prénom(s) : Elizabeth, Rosemary
Âge / Date de naissance : 16 ans, née le 21 Janvier

Caractère :

Elizabeth, comme beaucoup d'ado, ne sait pas vraiment où elle en est et est particulièrement lunatique. Malgré son apparence quelque peu excentrique et laxiste, c'est une excellente élève. Elle connait parfaitement les limites à ne pas dépasser mais ne se prive pas toujours de les frôler de temps en temps. Depuis la fameuse nuit que nous évoquerons plus tard, elle est devenue très méfiante et s'est plongé dans un demi mutisme troublé seulement par quelques répliques suintantes d'ironie.

Les activités : Nous avons ici une chanteuse-guitariste accomplie qui, égoïstement, garde son talent pour sa chambre.
Les objets fétiches : Son inhalateur -oui, asthmatique- , son Ipod qui a connu de meilleurs jours
Le film : Ocean's Eleven
La musique :

Once upon a time...

Il y avait des centaines de jeunes filles dans la ville. C'était pas ça qui manquait. Alors pourquoi, grand Dieu, pourquoi fallut-il que cela soit elle qui subisse ça ? Elizabeth Sanderson, connue dans toute la ville sous le surnom de Zaz, Betty ou Effy, regrettait d'être sortie ce jour-là.
C'était au printemps, quand les températures nocturnes devenaient plus agréables. Elle était sortie marcher, alors que la nuit devenait de plus en plus sombre. La route principale était déserte, jusqu'au moment où deux phares jaunes transpercèrent la nuit noire, accompagnés d'un bruit puissant de moteur. Elle reconnut ce bruit-là, ce moteur-là, cette voiture-là, c'est pourquoi elle ne se méfia pas et traversa pour se mettre du côté d'où arrivait la voiture. Mais lorsque la voiture arriva à son niveau, elle se rendit compte que ce n'était pas lui qui conduisait. Il n'était même pas là d'ailleurs. Elle ne comprit pas, et n'eut pas le temps de comprendre, car la portière arrière s'était déjà ouverte et deux bras musclés s'emparaient d'elle et l'entrainaient dans la voiture. Elle se débattit, bien sûr, mais cela ne mena à rien, et elle ne s'épuisa que davantage. La vieille Mercedes fila droit devant elle, jusqu'à un endroit -peut-être le seul- qu'Elizabeth ne connaissait pas. Elle se doutait assez de ce qui l'attendait, mais en fait, elle était loin de savoir vraiment quel sort lui était réservé.
Il s'agissait d'une sorte de vieux garage, assez grand, mais pas trop, et dont les murs n'étaient que de solides planches en bois. Il y avait une porte à deux battants, c'était par là que la voiture était entrée. Ils avaient refermé les portes, avaient fait sortir Zaz de la voiture, et elle avait eu le temps de voir que les deux portes métalliques avaient une petite vitre chacune. Non, elle ne savait vraiment pas où elle était. Cependant, elle n'eut pas le temps d'y réfléchir plus longtemps, car elle se retrouva plaquée contre l'une des cloisons en bois. Elle regarda autour d'elle. Ils étaient nombreux. Et elle les connaissait tous. Quels connards. Pourquoi était-elle là ? Elle ne le comprendrait que bien plus tard dans la soirée.
23h12 - Cela faisait vingt minutes qu'elle se faisait taper dessus, et elle ignorait encore pourquoi. Elle sentait le sang couler de presque chaque parcelle de son corps. Ses bras étaient meurtris, ses jambes ne supportaient plus son poids, son visage était ensanglanté, et cela ne faisait que commencer. Ils avaient trouvé une technique pour prendre tous leur pied. Chacun leur tour, ils la frappaient. Elle cracha un peu de sang, crachat qui eu le malheur d'aller s'écraser sur le visage de l'individu le plus proche -et aussi le plus musclé. Le coup qui atteignit son ventre la fit tomber à terre, à plat ventre. Elle fut relevée par des bras puissants qui la plaquèrent contre le capot allongé de la voiture. Elle se redressa, se retourna pour redescendre sur la terre ferme. C'est alors que plusieurs choses de passèrent presque simultanément. D'abord, elle eut extrêmement mal au ventre. Elle crut qu'un nouveau coup lui avait été asséné, mais non. Elle régurgita une quantité effroyable de sang, qui tacha tout le pare brise. Puis elle redressa légèrement la tête, vers les deux petites vitres des deux portes. Elle le vit alors. Il la regardait, et à le voir on aurait cru que c'était lui qui était en train de se faire torturer. Puis une poigne de fer l'attrapa et la replaqua contre le capot, la laissant suffoquer dans son sang. Pour la première fois de la soirée, elle hurla. Elle le voyait encore. Et il continuait à la regarder. Elle pleurait, l'appelait, mais il ne bougeait pas. Pourquoi ? Elle eu un soudain déclic. C'était à cause de lui qu'elle était là. C'était parce qu'il leur avait tenu tête qu'elle payait pour lui. Sous ses yeux. Et il ne bronchait pas. Elle recracha encore un peu de sang, tandis qu'elle sentait que l'on lui baissait son pantalon. Elle en était sûre. Ils ne pouvaient pas résister. Un petit supplément, histoire de se faire plaisir. Et juste devant lui en plus.
Il faisait noir. Elle avait froid, et elle savait que si elle essayait de bouger, elle aurait terriblement mal. Le sol était dur et glacé. Elle était toujours la-bas. Sa peau collait de partout. Du sang. Une flaque rougeâtre s'était formée près de sa tête. Elle avait encore vomi du sang. Elle avait l'impression d'être nue, et elle avait raison. Son esprit ne fonctionnait presque plus, et quelque chose gênait sa respiration. Résignée elle ferma les yeux.
Ce fut un bruit, et non pas la douleur qui la réveilla. Terrifiée, elle se redressa d'un coup et se blottit contre le mur au maximum. Une lumière l'aveugla. Celle du jour. Puis une silhouette s'approcha. Elle ne bougea pas. Lui, il s'approcha. Il s'accroupit près d'elle et murmura des choses qu'elle ne comprit pas. Elle était même sûre qu'elle hallucinait, que ce n'était pas lui. Il la prit dans ses bras, la soulevant avec aisance pour la placer dans la voiture restée auprès d'elle durant tout ce temps - trois jours. Il la recouvrit de quelque chose -une couverture, apparemment- puis la ramena chez elle. Il n'y avait personne chez elle. Cela ne changeait pas de d'habitude.

Mania, phobia, ritual, superstition ...

Citation :: Parvient à inventer un mensonge en deux secondes. Est allergique à l'eau de mer. A un chat nommé Pantoufle, et surnommé Papoune ou Kooki. A 16,9 de moyenne générale. Parle couramment Anglais. A besoin de dormir 10 heures par nuit. Se ronge les ongles.

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On m'appelle : Nono, Fogmaze, Kaologizic
J'ai environ : 16 years old
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